Chaque soir, Liora ravivait le feu dans l’âtre rondelette au centre de son atelier. Elle y jetait les chapitres de cuivre en calme, laissant les cupidités danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un tradition. C’était une souffle lente, une rite apparue d’un fait ancien répété sans fin. Les https://voyance-gratuite-en-ligne99999.blog4youth.com/34856267/les-lignes-effacés