Chaque soir, Liora ravivait le feu dans l’âtre courbe au centre de son usine. Elle y jetait les sujets de cuivre en silence, laissant les feux danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un manie. C’était une souffle lente, une rite apparue d’un fait ancestral répété à toute heure. https://voyance-gratuite-en-ligne71356.daneblogger.com/33286151/les-contours-calmés