À Toulon, loin des plages fréquentées et des parties touristiques, dans une ruelle encaissée entre des murs pâles rongés par le dieu, vivait une masculinité que l’on appelait simplement Liora. On disait d’elle qu’elle savait déchiffrer le destin non dans les cartes, ni dans les runes, mais dans les documents https://donovanrwace.diowebhost.com/89198794/les-contours-effacés