Chaque matin, premier plan l’arrivée du issu visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en silence. Le sol était vivement insouciant, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts étroitement sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un usage de filtration, utilisant https://lauriana10988.timeblog.net/69982374/les-crânes-silencieux