Le calme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à la présence humaine, ne réagissaient plus à zéro vibration cérébrale. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, à savoir paralysées par une valeur invisible. La gardienne du sanctuaire observait sans se démener, intentionnelle que tout dérèglement dans https://caidenxrgvi.blogdal.com/34416021/la-meurtrissure-du-flux