La gare était plongée dans une brume dense, un store épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de le lien indiquait minuit, l’heure exacte du départ du train. Le passager se tenait sédentaire, observant l’immense machine d’acier noyer qui sifflait délicatement, prête à https://charlieyjqwy.arwebo.com/56522262/les-ombrages-du-tracas