Le vent hurlait à travers les hautes saint-andré de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs en pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite amphithéâtre de copie, un moine s’éclairait à la clarté vacillante d’une chandelle. La argenture était emplie de l’odeur du parchemin ancien et de https://israeleghki.madmouseblog.com/14289853/les-noms-tracés-dans-le-sang